(08/03/22) par Ph Dusfourd

Que dire de Paul, tant il y a de choses à raconter à son sujet.

Sur le plan sportif, il a la carrure d’un bon talonneur trapu et court sur pattes. Sur le terrain c’est tout autre chose, il évolue au sein (ne pas confondre avec les seins qu’il palpe à longueur de journées pour détecter d’éventuelles grosseurs douteuses) des ¾ ou il pratique l’art du plaquage tel une faux sur le foin. Question vitesse il nous surprend par sa vélocité malgré son physique d’avant. Avants qu’il a d’ailleurs rejoint depuis quelques temps faute à des douleurs articulaires.

Sur le plan festif il n’est pas en reste non plus. Ce petit bonhomme au visage jovial est toujours là pour trinquer au détour d’une rue ou d’un zinc. Dès que l’occasion se présente ou à la demande de quelques Cissous, il pousse même la chansonnette avec un hymne à l’hommage de nos amis anglais qui l’a rendu célèbre aux 4 coins du globe.

Derrière une certaine forme de timidité vous découvrirez un grand Monsieur qui se passionne pour la vie (il l’a donne dès que possible et vole même au secours de ses confrères quand ces derniers ont du mal à délivrer) même si la sienne fut marqué du départ trop rapide de sa moitié, la culture (vous pourrez le trouver déambulant seul au milieu d’une ville pour en découvrir les secrets d’architectures et puis s’attablant à l’intérieur d’un petit estaminet pour y goûter d’excellents empanadas référence à une tournée en Amérique du sud qui est passée par Salta), la musique (avec son comparse de longtemps Rémi, il n’hésiterons pas à squatter le piano d’un hôtel pour vous jouer quelques notes et vous emporter avec eux), la gastronomie, ... si je devais le résumé je dirais que c’est un épicurien de la vie.

On ne peux pas non plus passer à côté de ses talents de couturiers, il aurait pu rivaliser avec les plus grand de ce monde Chanel, Dior, Lacroix, Cardin … mais lui son point préféré c’est celui de suture qu’il manie avec une telle agilité que les visages qui sont passés entre ses doigts experts n’en gardent aucune trace.

Je m’arrête là faute de temps, mais je suis comme je pense beaucoup de cissous honoré de te connaître.

Bon anniversaire

(08/03/22) par JF Escande

Il se murmure au sein des Cissous que la naissance de Paul fut compliquée et difficile au point d'influencer sa future vocation "soulager les femmes" ça laisse rêveur....

Ce farouche guérilleros n'aime pas les grands espaces mais adore les petits côtés il a su préserver ses doigts de fée nécessaire pour son métier malgré ses redoutables placages sur des attaquants médusés de se faire secouer de la sorte par un aussi petit gabarit. Jalousé par nombre de Cissous considérable au regard de son métier qui fait travailler notre imagination à tous et surtout Sergio qui travaille aussi de ses mains mais avec un matériau moins  noble.

Un physique une démarche lié à quelques problématiques des membres inférieurs, Paul est sans aucuns doute l'observateur le plus averti des Cissous tant ses descriptions humaines sont chirurgicales de précision et d'une grande affection. Cet homme qui déteste les grands terrains raffole des regroupements festifs adore la rigolade et les gens simples il est aussi un remarquable dénicheur de talents en terres étrangères lorsqu'il est accompagné de son alter ego en la personne de Dudule et en Argentine il réussit le tour de force en plus d avoir découpé quelques argentins de dénicher un estaminet à spécialité vietnamienne avec des joueurs à fort potentiel qui font encore aujourd'hui référence en terme de grosse rigolade. Cette grande capacité à se repérer dans l'espace s'est sans doute affinée au cours de ses nombreuses séances de pêche à la mouche dans toutes les rivières d'Europe... Pour conclure, Paul je me suis essayé à imiter le maître sans l'égaler bien sûr mais bon anniversaire Mr De Parzia on t'aime ne change rien

(08/03/23) par H Poinot

Imaginez un petit bonhomme, doté d’un immense cœur plus gros que lui, qui s’est choisi le métier dont tous les hommes rêvent… Il fait écarter des cuisses sans payer le resto et y met les doigts sans s’empéguer de fleurs … S’il arrive toujours le dernier à l’entraînement (certains ont un métier, pas une occupation), il resplendit de bonne humeur sur le pré et sent bon les onguents de grand-mère, sait toujours trouver le point G du placement et affûte des passes millimétrées que ses poignets (dans le coin) lui permettent. Il court sur ce qui lui reste de genoux et affublé de son teeshirt « connerie en cours de préparation », il se lèche les lèvres, petites ou grandes, de la venue de la 3ème mi-temps où ce qu’il préfère c’est la blague . Toujours en poche des certificats médicaux au cas où, il s’attaque depuis peu aux trous de nez sans doute pour changer, les covidés n’ont pas de règles. Maniant l’Histoire, Rimbaud et Desproges, sa joie toujours intacte d’être là s’entend dans les éclats de rire de ses proches à la table. Très joyeux anniversaire l’ami Paul même si ce court portrait ne se veut ni ne peut être l’égal d’un des tiens

par Vincent Tourrel (01/05/23

À notre Paul, l’infatigable compteur, le narrateur de notre confrérie rugbystique, le joueur de mots, aussi agile avec la plume qu’il est précis dans ses observations, je te dis merci !

Merci d’être-là pour nous tous.

Mais comment fais tu pour observer si bien qui nous sommes et comment nous nous comportons ?

Toi tu es agile sur le terrain, tu  ne lâches rien.

Tu manies le fil et l’aiguille, pas que pour les filles.

Tu gardes toujours le sourire, mais surtout tu nous fais rire.

Tu es le gardien de notre temple, moi je veux suivre ton exemple. 

Bises mon ami